L
e réveillon du 24 décembre, ses cadeaux sous le sapin, ses cailles à l’Armagnac, ses retrouvailles en famille… Toutes ces petites choses qui font un grand moment ! Enfin, pas pour Ève et Simon, pour qui cette soirée marque celle de leur séparation...
Les fêtes de fin d’année sont l’occasion rêvée pour offrir quelques présents, parmi lesquels peut figurer une bande dessinée. Et quoi de mieux qu’Un Noël à Paris pour l’occasion ?
« La comédie romantique de l’année », avec un joli sticker rouge (en guise de boule de Noël), Le Lombard donne le ton… quitte à forcer un peu la note ! Si, en matière de scène conjugale, Jim est l’homme de la situation, en faire LA pièce de 2025, est un pas qui ne saurait être franchi.
Sur un scénario qui rivaliserait avec les productions noëliques de TF1 ou les séries de l’Avent de Netflix, Jim délaisse les illuminations romaines de la Via del Corso pour celles du Printemps, où Ève travaille. Famille encombrante, couple au bord du burn-out, crise de la quarantaine, infidélité et illusions perdues… Jim met les bouchées doubles pour concocter une histoire qui, malgré quelques tentatives, peine à sortir des sentiers battus. Cependant, Giuseppe Liotti réalise une belle partition graphique qui donne toute sa fantaisie et sa pétillance à cette romance légère, rassurante pour ceux dont le couple traverse quelques turbulences.
Les enfants chez les grands-parents, une paire de bottes (des Fendi ?), l’Eurostar et hop : « Go to London for Christmas !”. le bonheur tient finalement à presque rien… Pour savoir ce qu'il en sera, il faudra attendre « Noël 2026 »… là aussi, c’est marqué !








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