Le Homelander de " The Boys ".

rahoul a écrit:Le Homelander de " The Boys ".
Morti a écrit:Il y a une question que je me pose depuis un moment : est-ce que Trump sait ou se rend compte que le monde entier se fout de lui ???![]()
Car à part le noyau dur de ses partisans, je ne vois personne qui le prend au sérieux...
Dites, ils sont fiables, les drones iraniens ???
James Gunn lance un procès d'un milliard de dollars contre la Maison Blanche et Donald Trump pour utilisation non autorisée d'une affiche de Superman représentant Donald Trump en super-héros
12 juillet 2025 – Dans une escalade spectaculaire des litiges de propriété intellectuelle, le cinéaste de renom et co-directeur de DC Studios, James Gunn, a intenté une action en justice d'un milliard de dollars contre la Maison-Blanche et l'ancien président Donald Trump. L'action en justice, déposée devant un tribunal fédéral, porte sur des allégations de violation de droits d'auteur découlant d'une affiche politique non autorisée représentant Trump en Superman. Cette image audacieuse, qui a suscité une vive controverse, violerait les droits de propriété intellectuelle liés au personnage emblématique de super-héros, propriété de Warner Bros. et DC Comics.
La plainte, déposée devant le tribunal de district américain, accuse la Maison-Blanche et Trump de violation intentionnelle du droit d'auteur et réclame 1 milliard de dollars de dommages et intérêts. La plainte soutient que l'utilisation non autorisée de l'image de Superman a causé un « préjudice irréparable » à la valeur et à la réputation de la marque, notamment compte tenu de l'importance culturelle du personnage et de la production en cours du film Superman de Gunn . La plainte soutient également que la diffusion de l'affiche – prétendument sur les canaux officiels de la Maison-Blanche et dans les supports de campagne de Trump – constitue une exploitation commerciale d'une propriété intellectuelle protégée.
Les experts juridiques estiment que ce montant d'un milliard de dollars correspond non seulement à des dommages et intérêts compensatoires, mais aussi à des mesures punitives visant à dissuader de futures violations.
« Abondance », l’idée qui inspire les démocrates
Un train à grande vitesse reliant San Francisco à Los Angeles en moins de trois heures. Un projet à la hauteur de la Californie, n’est-ce pas ? C’est sans doute ce qu’espérait le gouverneur démocrate de l’État, Jerry Brown, en signant une loi pour en étudier la faisabilité, en 1982.
Quatorze ans plus tard, le plan pour réaliser ce projet inédit aux États-Unis est né. Vingt-six ans plus tard, les électeurs californiens ont approuvé la construction du premier segment du réseau ferroviaire, qui devait être terminé en 2020 pour 33 milliards de dollars.
Quarante-trois ans plus tard, où en est le projet ? Si tout va bien, le premier segment sera terminé entre 2030 et 2033. Il reliera les centres agricoles de Merced et Bakersfield, où personne n’en veut vraiment.
« Durant tout ce temps où la Californie n’a pas réussi à compléter son réseau ferroviaire de 800 km, la Chine a construit plus de 37 000 km de lignes à grande vitesse », soulignent les journalistes Ezra Klein et Derek Thompson, auteurs d’un essai provocateur intitulé Abundance.
Vendu à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires, le livre n’est pas seulement un best-seller inattendu aux États-Unis. C’est aussi une source d’inspiration pour de nombreux démocrates déboussolés depuis novembre dernier. Il explore les raisons pour lesquelles les progressistes ou les démocrates sont souvent incapables de réaliser leurs grands projets.
Au nombre de ces raisons se trouvent des lois, règlements et procédures qui ont été voulus par ces mêmes progressistes ou démocrates, souvent pour de bonnes raisons, mais qui sont devenus des obstacles.
« Les trains sont plus propres que les voitures, mais la ligne à grande vitesse a dû faire l’objet d’un examen environnemental sur chaque centimètre de son tracé, avec des poursuites judiciaires à chaque coin de rue. Le processus d’évaluation environnementale a commencé en 2012 et, en 2024, il n’était toujours pas terminé », écrivent Klein et Thompson (le premier est chroniqueur et baladodiffuseur au New York Times, le second a quitté récemment le magazine The Atlantic).
Une forte réaction
Les progressistes ou démocrates échouent sur d’autres fronts, dont celui du logement. Ces dernières années, ils ont vu plusieurs États où ils sont au pouvoir, dont la Californie et l’État de New York, perdre de jeunes familles au profit du Texas, de l’Arizona ou de la Floride, entre autres États où l’accès à un logement abordable et à la propriété est un objectif plus réaliste.
En 2024, ils ont aussi vu le Texas produire près de deux fois plus d’électricité éolienne et solaire que la Californie.
C’est donc un changement d’attitude face aux excès de la réglementation et de la procédure que réclament Klein et Thompson dans Abundance.
Ces journalistes progressistes définissent le concept d’abondance comme « un état […] dans lequel il y a suffisamment de ce dont nous avons besoin pour créer des vies meilleures que celles que nous avons eues. C’est pourquoi nous nous concentrons sur les éléments constitutifs de l’avenir. Le logement. Les transports. L’énergie. La santé. Et nous nous concentrons sur les institutions et les personnes qui doivent construire et inventer cet avenir. »
Même s’ils avaient l’ambition d’influencer le Parti démocrate, Klein et Thompson ne s’attendaient pas à ce que leur petit livre suscite une réaction aussi forte. Des groupes ont vu le jour dans plusieurs villes américaines sous l’enseigne de l’« Abondance ». Deux de ces groupes ont été créés par des élus démocrates du Congrès.
"Le système est brisé. Le gouvernement est trop inefficace pour relever les défis du XXIe siècle. Mais la réponse n’est pas le DOGE. C’est l’ABONDANCE."
Ritchie Torres, représentant démocrate de New York, sur X
Le concept d’abondance est également populaire auprès des gouverneurs démocrates – ceux de l’État de New York, du Minnesota, du Colorado et du Maryland, entre autres, ont vanté ses mérites en public.
Mais le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, est vraisemblablement le premier élu démocrate à avoir lié un de ses projets de loi à ce qu’il appelle un « programme d’abondance », expression devenue courante.
« Un budget qui construit »
Ainsi, le 1er juillet dernier, Gavin Newsom a promulgué une réforme des règles californiennes de protection de l’environnement qui ont fait date, mais dont le gouverneur estime qu’elles font désormais obstacle à la lutte contre la crise du logement en Californie.
Cette réforme s’inscrivait dans le budget annuel de l’État.
« Il ne s’agit pas seulement d’un budget », a déclaré Gavin Newsom, auquel on prête des ambitions présidentielles. « C’est un budget qui construit. Il prouve ce qui est possible lorsque nous gouvernons dans l’urgence, avec clarté, et avec la conviction que l’abondance l’emporte sur la pénurie. »
Des groupes environnementaux ont dénoncé cette réforme. Ils ne sont pas les seuls, chez les progressistes ou les démocrates de gauche, à critiquer le concept d’« abondance ». Certains y voient un retour du « néo-libéralisme » à un moment où les progressistes ou les démocrates devraient, selon eux, épouser le combat populiste contre l’« oligarchie » mené par Bernie Sanders, Alexandria Ocasio-Cortez et d’autres.
Selon Aaron Regunberg, collaborateur du magazine de gauche The Nation, Klein et Thompson « détournent la colère du public envers le parasitisme des élites économiques et l’orientent vers les régimes réglementaires des États et des villes démocrates ».
Mais les auteurs d’Abundance n’inventent pas les échecs des démocrates. Un des exemples qu’ils donnent est issu du projet de loi sur les infrastructures dont s’est vanté Joe Biden. La mesure prévoyait 7,5 milliards de dollars pour la construction d’un réseau national de 500 000 stations de recharge de véhicules électriques. En mars 2024 – plus de deux ans après l’adoption du projet de loi –, seules sept nouvelles stations de recharge étaient en service.
« Si les [progressistes] ne veulent pas que les Américains se tournent vers les fausses promesses des hommes forts, ils doivent offrir les fruits d’un gouvernement efficace », écrivent Klein et Thompson.
(...) L’article du WSJ affirme que, pour un album destiné à Jeffrey Epstein en 2003 à l’occasion de son cinquantième anniversaire, sa compagne Ghislaine Maxwell − condamnée à vingt ans de prison en juin 2022 − avait rassemblé plusieurs dizaines de lettres de ses proches, parmi lesquelles Donald Trump, alors magnat de l’immobilier.
La lettre au nom de Donald Trump, que le journal dit avoir pu consulter, est de caractère salace, comme d’autres dans cet album. Elle comporte plusieurs lignes de texte dactylographié entourées d’un croquis de femme nue, apparemment tracé au marqueur, précise-t-il. La signature gribouillée du futur président apparaît sous la taille de la femme, évoquant une toison pubienne, souligne le WSJ.
RosbOOm a écrit:Donald Trump menace de poursuivre le « Wall Street Journal » pour une révélation compromettante sur l’affaire Epsteinévoquant une toison pubienne, souligne le WSJ.
toine74 a écrit:La vulgarité de Trump est actée et acceptée (il a été élu et réélu).
Par contre, ce qui pourrait coincer auprès de l'opinion publique (surtout MAGA), ça serait, pour Donald et malgré tous ses efforts, d'être associé à Epstein et à tout ce que cet ordure représente. Trump s'est présenté comme le sauveur, voir son nom sur l'hypothétique liste des invités ne passerait certainement pas très bien.
Brian Addav a écrit:Trump n'a jamais parlé d'Epstein pendant sa campagne.
Il n'a jamais dit qu'il allait sortir la liste des clients d'epstein. Car il a toujours refusé de parler de son ancien pote.
"Would you declassify the Epstein files?" Fox News' Rachel Campos-Duffy asked. Trump responded, "Yeah, yeah, I would."
(...)
"Yeah, I'd certainly take a look at it. Now, Kennedy's interesting because it's so many years ago," Trump said. "They do that for danger too, because it endangers certain people, et cetera, et cetera, so Kennedy is very different from the Epstein thing but I'd be inclined to do the Epstein. I'd have no problem with it."
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