Bonsoir
J'ai retiré mon "
mal dessiné", reconnaissant le beau boulot au niveau des personnages.
J'ai tout de même ressenti l'impression de lire un roman-photo.
Un truc que je trouve curieux :
L'aspect roman-photo, est-ce à cause du temps nécessaire pour représenter des décors de rue, que, dans certaines vignettes de cet album, on ne voit que le haut de certains bâtiments ? C'est dommage et plutôt gênant pour moi. Cela m'a fait penser aux cinéastes qui ne montrent que le haut des maisons lorsqu'ils filment dans un Paris actuel, alors que l'action se déroule par exemple en 1900, simplement pour cause d'absence d'argent pour les décors... Je parle pour les films réalisés entre 1980 et 2000. Maintenant, il y a l'image de synthèse qui permet de reconstituer des lieux disparus. Là, nous sommes dans une bande dessinée, on peut recréer tous décors désirés, c'est la force de la BD sur le cinoche.
Et j'avoue que je suis toujours choqué par des erreurs manifestes de beaucoup, l'anachronisme.
Le téléphone américain par exemple.
Il y a aussi le billard, toujours amerloque :
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Page 47, le trou dans le coin trahit un billard ricain.
La documentation, les filles et les gars !