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uite à une attaque inopinée de Dragagudas dans le Grand Canal, Fourmille se retrouve aux prises avec l'âme intrusive de la descendante de Léonard de Vinci. Comme cette dernière cherche à solder, dans le sang, un vieux contentieux familial avec la cité des Doges, une course contre la montre s'engage…
Avec Les chimère de Venise, Christophe Arleston et Alessandro Barbucci poursuivent leur odyssée dans l’univers d’Ekhö, reflet d’une Terre alternative où la magie est en continue.
Dans ce treizième opus, Christophe Arleston cultive ses classiques sur les canaux vénitiens. Comme à l’accoutumée le Maître de Troy délivre un scénario léger, parfaitement rythmé et travaille les références locales. Ainsi, sur le Rialto, il est loisible de croiser un Hugo aux allures de Pratt, accompagné d'un comparse aux airs de marin, boucle d'oreille comprise qui, a grands renforts d’incantations ésotériques (ce n’est pas une fable !), assureront la défense de la cité lacustre face à une vague rose ! Sur un tel pitch, Alessandro Barbucci propose (comme à son habitude) des planches flamboyantes de détails et colorées (grâce à Nolwenn Lebreton) qui transcrivent à merveille l’espace vénitien à travers une multitude d’attentions graphiques qui révèlent une belle connaissance des lieux et inscrivent cette aventure entre réalité et fantastique, concept fondateur de la série.
Les chimère de Venise, fort d’une recette éprouvée, ravira (encore) les habitués et charmera (probablement) les nouveaux venus.
encore un album de Arleston que je trouve complétement bidon
autant ce scénariste est capable de faire des histoires captivantes autant il est capable d'en faire d’autres inintéressantes au possible pour ne pas dire plus
pourtant cette série avait bien commencée et promettait beaucoup mais elle baisse d’album en album
attention au crash !!!
à l'instar de Sangre ou même de Lanfeust les scénarios malgré de très bons débuts dans les premiers tomes partent souvent dans le délire le plus total
délirant ne veux pas dire systématiquement drôle loin de là
c'est dommage
peut être S Arleston n'est il pas capable de faire dans la duré
se limiter à 3 ou 4 albums par série pourrait peut-être régler le problème
mais ce serait certainement moins bankable il est vrai...
le dessin quand à lui es toujours son même si j('ai l'impression qu'il y a une baisse
mais le scénario insipide y est certainement pour quelque chose
bref, je n'ai pas aimé cet album et je mets 2 étoiles uniquement pour les dessins sinon ce serait 0 pointé
je n’attendrai pas la suite avec impatience et je la lirai avant d’acheter pour ne pas dépenser inutilement mon argent