Maté (d'un œil, faut pas exagérer) Godzilla minus one (le 33e film de la série). Vraiment un truc improbable depuis mes yeux d'Occidental amateur de sushis. Les prémices sont bien connus et Godzilla arrive promptement pour tout dézinguer, d'abord un détachement de soldats, puis Tokyo à peine reconstruit après la guerre. Là-dessus vient se greffer un discours mêlant du Communisme (en mettant nos forces en commun, nous allons gagner, c'est la seule solution) avec du nationalisme pur et dur (c'est aux Japonais de sauver le Japon en agissant comme seul les Japonais savent le faire), tout en omettant évidemment toute mention de l'Empire et des excès de la guerre qui vient de s'achever.
. Cerises sur le gâteau : du mélo bien gluant (avec petit bébé sauvé des ruines), une vision sociétale année 50 où les femmes restaient à leur place dans la cuisine, des FX numériques en carton (la marque de la franchise) et l'inévitable happy-ending à deux yens + l'amorce du 34e volet.












