Un album au ton léger, enlevé et prenant. Plaisir de retrouver Pirzuine, particulièrement bien croquée par Juanungo. J'aime beaucoup le côté "cour de récré" : un délire d'étudiant peut partir en sucette et avoir des conséquences insoupçonnées. J'ai connu des Jérôme en puissance !
Bref, un bel épisode qui tisse un lien entre Potron-Minet et Zénith, des bons mots et des personnages qui valent le détour. C'est aussi l'histoire d'une amitié improbable qui arrive presque par hasard.
Les deux derniers donjon parades sont complètement crétins, mais c'est ce qu'on leur demande... Lecture rapide et agréable. On trouve comme d'habitude que ça a un goût de trop peu.
A gentleman is a man who can play the bagpipe and who does not
Page 6 de Chaos crescendo, Alcibiade cite la Pipe du Destin devant l'assemblée, alors que personne n'est encore censé connaître l'existence des artefacts du Destin... Normalement, même Hyacinthe ignore le nom de sa pipe.
Comme mes camarades au dessus, j'ai trouvé ça positivement bien débile, avec une bonne préférence pour Chaos crescendo. En tous cas cette salve de Donjon Parade était bien sympathique et rafraichissante. Maintenant y a plus qu'à attendre 2026 pour un retour aux choses sérieuses