Thierry_2 a écrit:sinon, bien en ratrd, j'attaque "The crown" et l'épisode 4 de la saison 1 a pris une drôle de résonance. "Act of God" revient sur le brouillard de 1952, catastrophe écologique causée par un brouillard impénétrable qui recouvrit Londres pendant 3 jours. Il paralysa la ville et causa des milliers de décès (4000 morts recensés à l'époque, on parle désormais de 12000 victimes). Ce smog était dû à la conjonction de conditions météorologiques particulières et de de la pollution.
Dificile de ne pas constater la même impréparation des politiques, le refus de responsabilité et prise en compte de la gravité de la situation que celle qui perdure encore. Etrange aussi de voir des scènes de londoniens masqués dans les rues ou des hopitaux complètements submergés et dépassés, en manque criant de moyens. Et ironique de voir Churchill mettre finalement sur la tard l'accent sur l'héroïsme des soignants (il ne manquait que les applaudissements aux fenêtres pour compléter le tableau). Familier ?
Je viens de finir Bridgerton, et qu’est-ce que c’est nul...Thierry_2 a écrit:Croaa a écrit:la chronique de Slate donne vachement envie.![]()
http://www.slate.fr/story/198736/netfli ... op-clichesSexe, scandales et clichés: «La Chronique des Bridgerton» de Netflix ne convainc pas
Marie Telling — 1 janvier 2021 à 10h58
Entre érotisme à l'eau de rose et intrigue un peu creuse au XIXe siècle, la nouvelle série de Netflix se heurte à une superficialité et certains clichés.
C'est une vérité universellement reconnue que toute histoire d'amour entre deux Anglais en costumes d'époque doit être comparée à un roman de Jane Austen. La Chronique des Bridgerton, nouvelle série Netflix dont l'action se déroule dans la haute société londonienne du XIXe siècle mais qui met en avant un casting divers, une esthétique pop et beaucoup de scènes de sexe, n'échappe pas à la règle et a été décrite comme une interprétation moderne des classiques de l'écrivaine britannique.
Comme dans les romans de Jane Austen, La Chronique des Bridgerton situe son action à l'ère de la Régence anglaise (en 1813, plus précisément, l'année de la publication d'Orgueil et préjugés). Comme dans les romans de Jane Austen, la série raconte une histoire d'amour ponctuée de bals, de conventions sociales, de robes à taille Empire et de malentendus.
Mais avec ses rebondissements délicieusement ridicules, ses intrigues vides de sens, et ses scènes de sexe filmées à la bougie, la série rappelle plus la collection Harlequin et les histoires d'amour de Barbara Cartland ou Danielle Steel, passées à la sauce Netflix, que les peintures sociales mordantes et subtiles de Jane Austen. (Je précise ici que j'ai quand même dévoré la série en moins de 24 heures, et que je ne regrette rien.)
etc...
c'est tout-à-fait ça
Saison 3 de Cobra Kai !!!!!
Qu'est-ce que c'est neu-neu !!! Qu'est-ce que c'est cliché !!!
Mais j'aime toujours autant !
C'est une série qui a un grand coeur, et je suis accro.
Aildiin a écrit:C'est si dur d'arreter le bureau tous les soirs apres 2 episodes...
C'est vraiment genial !
rahoul a écrit:Aildiin a écrit:C'est si dur d'arreter le bureau tous les soirs apres 2 episodes...
C'est vraiment genial !
Workaholic !
Aildiin a écrit:rahoul a écrit:Aildiin a écrit:C'est si dur d'arreter le bureau tous les soirs apres 2 episodes...
C'est vraiment genial !
Workaholic !
moi je fais boulot, bureau, dodo...
rahoul a écrit:Aildiin a écrit:rahoul a écrit:Aildiin a écrit:C'est si dur d'arreter le bureau tous les soirs apres 2 episodes...
C'est vraiment genial !
Workaholic !
moi je fais boulot, bureau, dodo...
Moi je fais dodo dans mes épisodes de présentiel tout comme ceux en télétravail.
silverfab a écrit:Morti a écrit:Est-ce que quelqu'un aurait tenté la série El Cid par hasard ???
Vu la moitié du premier épisode, pour une série espagnole je trouve ça bien foutu, les acteurs sont plutôt cnvaincants, décors et costumes soignés et rythme pas mal.
A voir si ça tient ses promesses sur la suite (5 épisodes de 1h).
nexus4 a écrit:C'est pas trop bidoche sanguinolente sans raison comme dans Vikings ?
nexus4 a écrit:C'est pas trop bidoche sanguinolente sans raison comme dans Vikings ?
toine74 a écrit:Vu les deux premiers épisodes de ce Lupin 2021 made in Netflix France. Que c'est mou du genou, des flashbacks incessants pour t'expliquer le perso, des répétitions à gogo pour être sûr que tu aies compris les flashbacks. Résultat, ça n'avance pas et le rythme est tout cassé. Au niveau prod, il y a du pognon, la ville de Paris est contente pour la pub et les acteurs y croient forts (peut-être un peu trop vu l'histoire). Ce joli joujou sans aucun enjeu permet surtout à Omar Sy d'asseoir sa notoriété.
Mirdhynn a écrit:Pomponazzo a écrit:toine74 a écrit:Vu les deux premiers épisodes de ce Lupin 2021 made in Netflix France. Que c'est mou du genou, des flashbacks incessants pour t'expliquer le perso, des répétitions à gogo pour être sûr que tu aies compris les flashbacks. Résultat, ça n'avance pas et le rythme est tout cassé. Au niveau prod, il y a du pognon, la ville de Paris est contente pour la pub et les acteurs y croient forts (peut-être un peu trop vu l'histoire). Ce joli joujou sans aucun enjeu permet surtout à Omar Sy d'asseoir sa notoriété.
Quel dommage ! J'y croyais pourtant à 200% ! La série qui allait enfin détrôner Breaking Bad du sommet des charts...
Je déconne, bien sûr. Aucune attente en ce qui me concerne pour ce genre de truc. Rien que la bande-annonce digne de Luc Besson pue des pieds.
On n'est pas doué, ni pour le cinéma, ni pour les séries en France. Trop sclérosés sur nos a priori de faire des trucs d'auteur, incapable de faire vivre un soufflé épique, non, ce qui intéresse nos élites, c'est de faire passer un message (souvent digne de l'élection de Miss France d'ailleurs).
Je sais que je vais sûrement me prendre une volée de bois vert en disant ça, mais jamais n'arrivons à la cheville des grands réalisateurs anglophones. Notre cinéma ne survit que grâce aux perfusions publiques, pas grâce au talent de nos réalisateurs.
Le Complot a écrit:Mirdhynn a écrit:Pomponazzo a écrit:toine74 a écrit:Vu les deux premiers épisodes de ce Lupin 2021 made in Netflix France. Que c'est mou du genou, des flashbacks incessants pour t'expliquer le perso, des répétitions à gogo pour être sûr que tu aies compris les flashbacks. Résultat, ça n'avance pas et le rythme est tout cassé. Au niveau prod, il y a du pognon, la ville de Paris est contente pour la pub et les acteurs y croient forts (peut-être un peu trop vu l'histoire). Ce joli joujou sans aucun enjeu permet surtout à Omar Sy d'asseoir sa notoriété.
Quel dommage ! J'y croyais pourtant à 200% ! La série qui allait enfin détrôner Breaking Bad du sommet des charts...
Je déconne, bien sûr. Aucune attente en ce qui me concerne pour ce genre de truc. Rien que la bande-annonce digne de Luc Besson pue des pieds.
On n'est pas doué, ni pour le cinéma, ni pour les séries en France. Trop sclérosés sur nos a priori de faire des trucs d'auteur, incapable de faire vivre un soufflé épique, non, ce qui intéresse nos élites, c'est de faire passer un message (souvent digne de l'élection de Miss France d'ailleurs).
Je sais que je vais sûrement me prendre une volée de bois vert en disant ça, mais jamais n'arrivons à la cheville des grands réalisateurs anglophones. Notre cinéma ne survit que grâce aux perfusions publiques, pas grâce au talent de nos réalisateurs.
Ben on va dire que la gloire de notre cinéma appartient au passé, surtout...
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