Ah ben on démarre sur du Rothko.


et on continue sur une double page, où l'on retrouve notre ami le chien bleu.

nexus4 a écrit:Ah ben on démarre sur du Rothko.
et on continue sur une double page, où l'on retrouve notre ami le chien bleu.
guiguiche a écrit:Je n'avais pas acheté le T1 (ni lu en bibli), je vais peut-être me laisser tenter par le diptyque. Vous confirmez que ça vaut vraiment le coup ?
Casou a écrit:Je ne regarde pas la preview, un Flao, c'est découverte en support papier et pis c'est tout.
rvrdelc a écrit:Parfois les scénarios sont cousus de fil blanc.
Pas ici.
Laissons nous bercer au fil de l'eau.
On sent les odeurs des eaux saumâtres, on entend les chœurs et la musique d'un "enterrement", on est éblouï par les couleurs d'une nuit, par les couleurs des profondeurs, On sent la rugosité de l'écorce d'un arbre, le poids d'un nuage et les reflets, tous ces reflets, et jamais les mêmes...
La faune et la flore sont essentielles, même une navette de gendarmerie peut fleurir au printemps.
Parler d'une galerie de personnages est un cliché, mais jamais l'expression n'a mieux convenu qu'à ce récit . Des trognes et des singularités.
La rentrée littéraire est lancée, nous tenons déjà un grand livre.
Le Tapir a écrit:Oui encore un grand livre! Les libraires bds des beaux quartiers ne vont pas se gêner pour écrire des étiquettes sirupeuses et apposer leurs bafouilles commerciales illisibles dessus pour appâter tout bon amateur de bd qui se touche!![]()
On connait la musique!
Le Tapir a écrit:C'est typiquement le genre de truc mis en avant par mon libraire qui cache les bds de Vivès ou de Dany...
rvrdelc a écrit:Parfois les scénarios sont cousus de fil blanc.
Pas ici.
Laissons nous bercer au fil de l'eau.
On sent les odeurs des eaux saumâtres, on entend les chœurs et la musique d'un "enterrement", on est éblouï par les couleurs d'une nuit, par les couleurs des profondeurs, On sent la rugosité de l'écorce d'un arbre, le poids d'un nuage et les reflets, tous ces reflets, et jamais les mêmes...
La faune et la flore sont essentielles, même une navette de gendarmerie peut fleurir au printemps.
Parler d'une galerie de personnages est un cliché, mais jamais l'expression n'a mieux convenu qu'à ce récit . Des trognes et des singularités.
La rentrée littéraire est lancée, nous tenons déjà un grand livre.
Casou a écrit:En tout cas, à mon avis, pour une remise, maintenant, c'est mort.
Je ne serais pas étonné dorénavant de voir dans les beaux quartiers écrit sur un portrait du Concombre masqué : " Wanted Le Tapir ".
Les libraires qui te traitent de facho si tu achètes un Lefranc à la place d'une bd sur le véganisme.
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