Message précédent : Les ajouts des éditions bibliophiles consistent en des illustrations pleine page, qui viennent aérer le récit. Cela se justifie plus ou moins, selon les albums. J'ai trouvé cela par exemple très appréciable sur le diptyque La vallées des immortels.
Disons moins indispensable sur Le Dernier Espadon ou Huit heures à Berlin.
Ça reste appréciable, car cela vient en supplément, mais la respiration apportée au récit dans les deux albums de la vallée des immortels m'a parue plus salutaire, car le récit est dense, et les cases sont chargées.
Vue comme ça, l’édition « de base » ressemble à une version tronquée… Je sais, c’est un peu fort, comme mot, mais c’est l’impression que ça donne. Le format est-il légèrement plus grand, la qualité du papier différente ? (Je me renseigne )